En septembre, la Chambre des députés a approuvé l'initiative du président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) qui octroie le contrôle total de la Garde nationale au Ministère de la Défense Nationale.
Le vingt-septième rapport d'activités du Centre des droits humains de la montagne Tlachinollan “Ton nom que je n'oublie jamais” présente le panorama dans lequel se développe une crise des droits de l'homme qui, depuis des décennies, a maintenu ouvertes les plaies de la population de Guerrero.
Dix ans après l'entrée en vigueur de la loi pour la protection des défenseur.e.s des droits humains et des journalistes, en janvier, le ministère de l'Intérieur a entamé des travaux pour la réformer.
En septembre, le président Andrés Manuel López Obrador (AMLO) a présenté son troisième rapport gouvernemental dans lequel il a abordé la situation des droits humains. Bien qu'il ait déclaré que "les droits de l'homme ne sont pas bafoués" au Mexique, plusieurs organisations civiles ont contredit ses déclarations.
Le 10 décembre, à l'occasion de la Journée Internationale des Droits de l'Homme, le rapport “ Deuxième année, une nouvelle politique des droits de l'Homme et Présentation du Programme National des Droits de l'Homme » a été présenté par le ministère de l'Intérieur.
Le 17 mai, le Comité contre la Torture de l'Organisation des Nations Unies (CAT) s'est prononcé sur le rapport que le Mexique a présenté devant lui au sujet de la torture au mois d'avril.